Il était 19 heures passées quand la menace s'est

Il était 19 heures passées quand la menace s'est levée. Il pris sa valise et nous embrassa sur le front. La porte se ferma et nous mimâmes un salut chaleureux sur le pas de la porte. Vingt-deux qu'il cria de la portière, vingt-deux demande la soeur et je répondis en souriant, oui, vingt-deux comme vingt-deux vl'a les flics. Il y avait encore ce danger qu'il fasse demi-tour, qu'il ai oublié quelque chose, n'importe quoi qui aurait pu retarder son départ, rendant alors son retour incongru, déplacé, ne serait-ce que pour quelques minutes de plus. Le souffle d'air qui commençait à percer, nous qui retenions alors notre souffle depuis plus d'une journée, poussant ainsi le père vers la sortie, le dépossédant consciencieusement depuis, l'acculant dehors, n'y laissant qu'une matière imprévisible et violente, prête à frapper et transformer en violence les particules de calme factice en tempête, ce souffle retenu aurait alors été de trop. Il devait partir, accomplir des tâches qui n'intéressaient qu'en ce que le confort était préservé, largement, avec assez d'habitude maintenant pour qu'il parût normal de ne ressentir aucun sentiment particulier.